☆●¸.• £¥ñĐå •.¸●☆ : Bisous ma douceur....☆●¸.• £¥ñĐå •.¸●☆ : Bisous ma douceur...
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Mes p'tits lutins en visite
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Les souffrances sont beaucoup plus réelles que
les illusions de nos songes
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Passé- Présent
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Ne vous encombrer pa l'esprit de pensées inutiles.A quoi bon ruminer le passée.Anticiper l'avenir ?Rester dans la simplicité de l'instant présent
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Un oui, un non, un oui, un non, Voilà dans ma tête ce tourbillon, Sans cesse, les pensées s'affolent et ci et là, Je ne peux jamais répondre à un pourquoi... "Je ne sais pas", voilà mes mots, Ne pas savoir, hésiter, voici mes maux... Mon esprit est doute, flou et plein, Trop plein de pensées de tout, de rien... Difficiles sont les décisions, Atroces sont les questions... Oui, les questions tourbillonnent dans ma tête Comme le vent en pleine tempête... Je n'ai point de réponses à tout cela, Peut-être qu'un jour,elles seront là...
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Venu d’ailleurs je me suis égaré sur terre. Je suis un passager du temps j’ai traversé toute ces lumières. Je n’aï pas encore fermé l’œil ……… je suis si fatigué. Telle une feuille morte qui tombe de l’arbre. Emporter part le vent sur cette prairie de tout les temps. Je me suis égaré, esseulé quelque part ou personne ne m’y attend Je cherche ma destinée mais qu'’elle destinée ? Je vie dans l’ombre dans la discrétion de mes mots. Se n’est pas comme dans une conte ni même histoire. Ici tout ce dit il vous suffit de vous exprimer. En ce jour, l automne est la a ma porte. Comme cette nature Je suis d’une tristesse. Il y a cette lumière, ce soleil qui vient me ravir le visage. J’aime sentir cette chaleur cela me réchauffe le cœur. Suis-je un homme ou qui suis-je vraiment ? Une feuille que cette hivers va faire disparaître a tout jamais. Ho … fut beau ce temps, accrochée a cette arbre que le vent a souvent mal mené. Ho… fut belle la vie que j’ai mené avec tout ce temps inachevé. Ainsi arrive le moment pour moi de déposer ma plume. Ceci restera un poème inachevé ……
Les âmes de l'enfer Les esprits du mal sont comblés de rigueur Ils ne sont heureux que quand il y a la guerre Ces esprits terrifiants émanent de l'enfer Ils ont le cœur plus dur que le fer C'est eux qui sèment la terreur sur terre Seules les choses horribles font leur bonheur Des villes en flamme des hommes qui meurent Le règne de la laideur dans toute sa splendeur Les assoiffés de sang guidés par l'inconscience Éternisent soigneusement leur règne avec méfiance Ils s'infiltrent facilement dans l'esprit des faibles La force majeure de leur règne, c'est le trouble Car le calme peut mettre fin à leur renaissance Et c'est pourquoi ils les écartent du bon sens Ils sont à la base de la famine et de la misère Ainsi nos villes se transforment en désert Le monde continue à les observer dans leurs atrocités Ils s'avèrent infrangible, tenace dans leur férocités Ce monde n'est plus rose Plutôt tâcheté de rouge